On me parle d’un chemin
un chemin de lumière
d’ombre
de sang et d’eau
un chemin de silence
où juste laisser faire
jusqu’à la transparence
du corps que je suis
jusqu’au tressaillement
du bas de la colonne
pour remonter en haut
de la montagne fendue
et pouvir contempler
la dépouille du vieux clown.