Rien en face pour combattre
cette ondulation lente
Qui inonde la terre
en respectant le temps
Dont on connaît le centre
dont on est revenu
sans rêve de conquête
En suivre juste le mouvement
dérober sa fraîcheur
Qu’elle se retrouve à sec
avant de nous atteindre
Que nous nous endormions
tous les deux épuisés.