Le rythme ne change pas
mais le soleil, soudain
réchauffe la peau trempée
par la sueur des marches
Je me retourne enfin
pour estimer le temps
qui me sépare de toi.
En quête de poésie
Le rythme ne change pas
mais le soleil, soudain
réchauffe la peau trempée
par la sueur des marches
Je me retourne enfin
pour estimer le temps
qui me sépare de toi.