Solarpunk journal #1

Je découvre le Solarpunk lors d’un trajet en train. J’attendais ça, cette connexion, cette fusion entre mon imaginaire profond (Miyazaki, les plaines d’Heidi, le western sans colt, l’Open source, la décroissance, l’harmonie, le silence et la lumière) et la réalité d’un monde auquel faire face en restant debout.

J’attendais cette occasion de fusionner l’ensemble de mon univers depuis si longtemps.

Un genre qui combine et unifie tout ce que je tente de faire, de décrire, de positionner dans mes recueils depuis 15 ans : l’émerveillement pour la nature, la joie d’un état d’enfance sans drames et le retour à la pulsation dans un monde de techniques qu’il faut reprendre par le versant low (tech).

La mise en sourdine de ces dernières semaines était peut-être le temps de jachère nécessaire pour trouver ce point d’unification recherché pour continuer d’avancer, d’écrire et de rêver.

En relisant, à cette lumière, les derniers poèmes, le retrait des réseaux, la couleur de Permettre aux étoiles choisie pour le site, le poème des 20 ans, tout prend sens, cohérence, impulsion.

Je suis heureux, excité, comblé par cette découverte.

Solarpunk. En avant.

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