Peut-être qu’il ne sert à rien
que j’implore de toi un signe
Peut-être qu’il faut laisser cet air
pour que d’une terre sorte une vigne
Peut-être que cela est vain
de te supplier des deux mains
Peut-être que les nouvelles paroles
ravivent les sources dans l’incertain
Peut-être faut-il se contenter
de vivre dans cette joie profonde
De lire les mots et de chanter
ce grand silence qui me fonde.