Je ne reconnais pas ce que j’aime croire du monde dans les images de Dieu présentées en surface. Je crois à un principe, constitué de lumière, qui pourrait être noire, et de ces vibrations qui génèrent le monde. Une tension palpable avec l’autre que nous. Relié et amoureux.
Mais la Bible m’attire. J’y joue, aux abords des livres. Y plonge, à la faveur d’un terme. Y pleure face à un commentaire mettant en parallèle les mots originaux. Bereshit.
Un Océan. Imprévisible. De quoi se perdre et se trouver. Plus qu’un désert. Mais seul. Pour prendre possession de soi. Mais dans la foule. Pour apprendre à construire. Au rythme de sa vie. Préface, commentaire, postface. En accompagnement.
C’est aussi pour cela que j’écris des poèmes. Sans formules reprises qui risqueraient le trouble. Sans interposition qui viendrait perturber le nouvel agencement que j’invente en présent. Juste retour des choses à tant de liberté.
Avec cette prétention de submerger l’image afin de tutoyer. Par vengeance limpide. Comme un combat d’enfants.