Bonjour à toutes et tous,
Comme chaque année depuis 2010, petit retour sur douze mois de création poétique avec trois poèmes par jour tracés au fil des mois de 2019 et ce, jusqu’au 31 décembre.
Une dernière année de la décennie très riche, marquée pour moi par la publication d’un troisième recueil, Contre la nuit, aux éditions Bruno Doucey, par les débuts d’une activité de critique et de médiation intense dans La Croix et La Croix l’Hebdo, le lancement du blog « Un poème pour la route » et la tenue de plusieurs expositions.
Un grand merci à vous de faire circuler ces mots, dans ce silence fulgurant qu’est la lecture d’un poème.
Débarrasser l’espace
Détacher l’émotion
de la matière morte
Faire en sorte
que le calme demeure.
Nuit agitée. Tri et limitation des passions pour se donner une perspective. Pour se construire un fil qui pourrait nous guider. Poésie et journalisme littéraire. Privacy et open source. Typographie, design et signes. Minimalisme et escargot. Les mots, la langue, en tous cas. Ses formes. Au réveil, je regarde une étiquette “Monoprix” d’une housse de couette achetée par S. Noire et blanche, niveaux de gris. L’essentiel dit. Style international. Plus que les mots, la qualité des silences. Mais comment sortir de la contemplation du blanc ? Que faisait Guillevic face aux vides des quanta ?
S’entraîner sur la piste
pour twister nos désirs
de quelques pulsations.
La couverture de Gustave N°81 de janvier 2019
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