Pas seulement ralentir. Reprendre, d’une respiration, la marche à notre rythme. Suspendre et persister pour bien choisir les herbes. Saluer les insectes d’une infime révérence. Sorti du peloton, n’y voir plus qu’une masse soulevant la poussière. Ressentir l’oxygène jusqu’au bout des talons.