Tourner autour, tourner pour formuler sans fin ce qui est là. Peu importe le nom, mais cette puissance-là. Active, en mouvement. Lente et rapide à la fois, dans les infiniments. Peu importe l’incarnation, l’intelligence, la conscience éventuelle. Ce mouvement est. Palpable, invisible/visible à chaque seconde tout autour de nous. Et nous en sommes. Toujours dehors, toujours au centre. Dans un alignement parfaitement imprenable. Une droite parfaite qui s’ébrouerait. Entrons dans la danse, oublions l’angoisse. Dansons ensemble jusqu’au matin.
Quel est mon lieu ? la poésie Elle est ma maison, mon odorante maison Elle est la fleur de l’espace
Nicolas Dieterlé