C’est l’oubli la vraie fin.
C’est quand plus personne ne pense
à vous
à vos sourires
à vos colères
à vos inventions
au son de votre voix
à votre parfum
à votre couleur préférée
pour repeindre le monde.
C’est ça la fin.
Comme une lumière restée allumée par mégarde
dans une maison où plus personne ne vient.
J’ai peur de ça
de ne plus revenir
pour te voir.