Je n’ai rien écrit sur la disparition de Lorand Gaspar. Faute d’un temps que je n’avais pas. Faute, aussi, de n’avoir pas suffisamment croisé son oeuvre, rapprochée pourtant de celles de ceux qui me font vibrer chaque jour : Guillevic, Perros, Jaccottet, Grosjean, Jabès.
Je vais réparer cela, j’oserai presque dire avec joie. Et j’y reviendrai, hors du temps convenu, mais nécessaire, des hommages. Pour partager ce que j’y aurai trouvé de lumière augmentée, d’énergie transférée, de puissance effective. Pour évaluer la force d’un poème sans le temps.
Un commentaire
Ton texte sur Lorand gaspard est en harmonie avec les écrits de ce médecin poète humaniste voyageur.
Merci.