Je ne t’écrirai plus
du profond de la nuit
auprès de l’arbre rouge
Je ne t’écrirai plus
de la rive sans étoiles
caressant chaque larme
Je ne t’écrirai plus
des collines impatientes
où le vent déracine
Je ne t’écrirai plus
car l’été nous invite
et qu’il nous faut répondre.