Cerisier 28/04/2009 dans Poèmes Ne plus tenir la barre comme une fleur qui décroche comme une peau que l’on frôle. Âges farouches Latent Laisser un commentaire Annuler la réponseCommentaire * Nom * E-mail * Site web Δ Articles similaires Donc… Libération Venir ici #5 Les larmes d’Alexandre (5/13)