Les quatre girafes révolutionnaires eurent à peine le temps de se prendre les jambes dans leurs cous que, déjà, le gaz lacrymogène inondait la ruelle. À dire vrai, ce matin là, Roger n’avait aucune envie de mourir pour des idées.
Il préféra terminer son café.
2 Commentaires
Très sympa l’idée de ce blog !
En tant que fan de poésie je vais suivre ça avec grand intérêt.
1,2,3,petits poémes et déja de la grande
poésie .Bravo,bravo,bravo,la girafe qui
se prend pour un renard.J-L B.