Tous, ils se sont levés
pour retrousser leurs manches
Et découper, debout,
dans le tissus des vies
ces étincelles tangibles
Pour rappeler l’estime
à tous ceux d’entre nous
qui avaient oublié
la puissance des mains.
« Nous avons commencé la production (des masques) mardi soir. Nous avons réuni le personnel, en leur disant que nous comprendrions très bien s’ils décidaient de rester chez eux pour s’occuper de leurs proches. Mercredi matin, tout le monde était à l’usine », salue Éric Boël, PDG des Tissages de Charlieu.
À lire dans La Croix : Coronavirus : 130 000 masques par jour dans une usine de la Loire