Ce qui m’faut c’est pas dl’argent
Mais juste un peu d’entregent
Pour montrer à qui n’en veux
Mes poèmes de mieux en mieux
Jusqu’ici comme j’en ai peu
J’les fredonnent akimieumieu
Aux voyageurs éberlués
Qui m’écoutent d’la voie ferrée
Moi en toutes circonstances,
J’me fiche de la bienséance
Pis je m’oublie, j’suis trop heureux,
J’les finis par un grand MEUH !