Certains poèmes ne servent qu’à revenir au point où la raison lâchera prise. Comme un exercice de méditation. Pour se recentrer, puis détendre ses muscles et laisser passer les informations dont le limon fera, peut-être, un poème, lorsqu’il aura pu se déposer. Saisir l’état présent, sans spéculer d’avance.